Sylvain Hannotte
Quel est ton parcours académique?
J’ai fait un Bachelier en droit à Liège.
Quelle est ton expérience professionnelle antérieure?
Lors de mes études, j’ai effectué un stage dans une banque belge qui a débouché sur un premier emploi. J’ai travaillé dans une agence pendant trois ans en tant que Chargé de clientèle. Ensuite, je suis devenu Chargé de Clientèle Senior pour faire du crédit hypothécaire. J’ai exercé cette fonction pendant deux ans. Après, j’ai poursuivi ma carrière en tant que Conseiller Professionnel. En 2017, je suis devenu Directeur d’Agence indépendant.
Qu’est-ce qui fait de CBC un employeur attractif?
J’ai toujours reçu de bons échos de la part de mes clients concernant leur expérience chez CBC. CBC est une banque à taille humaine avec une clientèle moins nombreuse. Je trouve que chez CBC on travaille un peu plus à l’ancienne dans l’approche client, tout en ayant recours aux technologies actuelles. On sent qu’il y a à la fois le souci de l’approche client et le souci des membres du personnel. Chez CBC, on laisse de la latitude et de la liberté aux employés pour autant qu’ils fassent leur travail. On est plus dans une relation de confiance.
Les valeurs de CBC te semblent-elles claires?
Pour moi, la durabilité est une des valeurs centrales. Que ce soit les placements ou les nouveaux produits présentés aux clients, tout est très axé sur la durabilité. Cela se traduit et se voit également dans les différents bâtiments de la banque. On veille à l’installation de panneaux photovoltaïques pour consommer de façon plus durable. De plus, les déchets sont triés grâce à différentes poubelles prévues à cet effet. J’ai remarqué que tout le monde a été conscientisé à ces enjeux.
Qu’est-ce qui t’a attiré dans la fonction de Private Banking Officer?
Avant, je faisais essentiellement du crédit. Quand on fait du crédit, la relation qu’on a avec les clients peut être influencée par différents facteurs sur lesquels on n’a pas de prise. Cela peut être parce qu’une autre banque propose des taux plus intéressants ou parce que la politique crédit a changé. Mais ce sont des choses qu’on ne peut pas influencer. Les clients peuvent être frustrés et la relation peut s’envenimer.
Tandis que dans les placements, normalement, la banque ne nous freine pas. Ce que j’apprécie tout particulièrement en tant que Private Banking Officer, c’est d’accompagner les clients et d’effectuer des placements. C’est une autre dimension de la relation client. On essaie de créer une relation de confiance qui s’établit dans la durée. Je cherche à avoir une certaine stabilité, à rester longtemps dans la fonction pour avoir l’opportunité de développer cette relation et pour pouvoir travailler sereinement.
Comment as-tu commencé ta carrière chez CBC?
La première semaine, quand je suis arrivé au Centre de Banque Privée, j’ai été présenté aux collègues et ils m’ont expliqué la façon de travailler. Ensuite, je suis parti en formation chez un Private Banking Officer Senior pendant trois semaines. Je l’ai accompagné pour observer la façon dont il travaille et pour apprendre comment ça se passe au niveau informatique, car c’est vraiment un changement majeur par rapport à mon travail précédent. Cela fait maintenant quelques semaines que j’assure les rendez-vous seul et que je suis pleinement autonome.
Quelles étaient tes attentes quand tu as commencé à travailler chez CBC?
J’avais hâte de découvrir la fonction de Private Banking Officer. Je voulais absolument travailler dans le domaine des placements. CBC m'a permis d’accéder directement à cette fonction. J’avais envie de travailler dans un environnement de travail plus serein, me permettant de m’épanouir.
Comment évaluerais-tu la qualité de l’accueil, de la formation, du coaching lors de tes premiers mois chez CBC?
Au niveau du coaching et de l’encadrement, je trouve que c’était super d’être formé par quelqu’un qui a plus de trente ans d’expérience dans le domaine et qui connaît bien ses clients. J’ai eu l’occasion de traiter des cas particuliers en sa présence. Il a été très patient et j’ai pu poser des questions sans crainte. Je ne m’attendais pas à être formé pendant trois semaines avec un collègue spécialisé. Je pensais qu’on me mettrait directement dans le bain et que je devrais me débrouiller sur le terrain. Mais cela ne s’est pas du tout passé comme ça.
Mon manager vient me voir assez régulièrement pour prendre des nouvelles de mes dossiers et pour savoir si je me sens bien dans ce nouvel environnement.
Qu’est-ce qui te rend fier de travailler chez CBC?
Ce qui me rend fier, c’est d’occuper la fonction que j’exerce maintenant. Je pensais pouvoir aspirer à cette fonction dans cinq à dix ans. Je suis fier de pouvoir déjà l’exercer aujourd’hui et de travailler dans une banque qui est, encore actuellement, bien perçue par la clientèle.
Quels conseils donnerais-tu aux personnes à la recherche d'un premier emploi?
Je leur conseillerais de bien rédiger leur curriculum vitae en allant à l’essentiel. Le lecteur va le lire en quelques secondes. Dans la lettre de motivation, il est important de laisser un certain suspense pour susciter l’envie du recruteur d’en savoir plus et de rencontrer le candidat pour approfondir les choses.
Ce n’est pas toujours facile de savoir dans quel domaine travailler à la sortie des études. Pour moi, il est important de choisir un emploi qui permette de maintenir un bon équilibre vie professionnelle – vie privée. Il faut savoir ce qu’on veut tout en essayant de ne pas brûler les étapes et de ne pas se comparer aux autres.
Les perspectives de mobilité au sein de CBC te semblent-elles claires?
Nous avons eu une réunion avec une collègue des ressources humaines qui nous a parlé des possibilités d’évolution et de mobilité. Si on se rend compte que la fonction ne nous correspond pas, il y a la possibilité de se réorienter ou de trouver un autre emploi en interne. CBC préfère garder la personne en la réorientant vers une autre fonction, plutôt que de s’en séparer.